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L'Enfant et les Sortilèges
Adaptation de l'œuvre de Maurice Ravel sur un livret de Colette,
par 'Les Musiques à Ouïr’

Dimanche 17 août

15h30

Admission Générale

pour le spectacle

24 €

Pour tout renseignement, contactez :

contact@theatrebassepassiere.com

Cette fantaisie lyrique de Maurice Ravel, dont le livret a été écrit par Colette, raconte le songe d’un enfant qui s’endort, après s’être fait gronder par sa mère. Les Musiques à Ouïr proposent un voyage musical et imaginaire au cœur de l’enfance et de la nature grâce à une orchestration originale, puisant dans des sonorités à la fois acoustiques (harpe, flûte, saxophones, clarinette, accordéon) et électriques (ondes Martenot). 

Le croisement de ces univers sonores offre à redécouvrir l’œuvre de Maurice Ravel, aux teintes surréalistes, dans une tonalité d’aujourd’hui, tout en respectant la partition chantée.

Les Musiques à Ouïr 

Les Musiques à Ouïr est une compagnie  musicale dont le siège est à Rouen (76) avec une antenne à Pantin (93,  conventionnée par La DRAC Normandie, La Région Normandie, les Villes de Rouen et de Pantin.

Note d’intention de Denis Charolles

"Ma passion pour l’œuvre elle-même et pour l’époque à laquelle elle a été créée, les liens entre cette musique, le jazz, le surréalisme… L'œuvre de Colette et Maurice Ravel est une suite de tableaux chantés, j'ai pris goût à cette forme depuis les « Etrangers familiers » et je me passionne quand il s'agit de diriger chanteuses-eurs et les musiciennes-ciens. Il y a aussi l’originalité d'une instrumentation propre aux Musiques à Ouïr (saxophones, percussions, trombone, chant, accordéon, harpe) et l'arrivée des ondes Martenot, instrument qui fait naître des sonorités très originales au sein de l'œuvre et pour lequel Maurice Ravel souhaitait écrire. L'Enfant et les Sortilèges recèle une infinité de possibles et nous recherchons une belle palette de combinaisons afin d’offrir de nouvelles couleurs à faire découvrir au sein de cette oeuvre magnifique. Cette création est un projet "phare" pour l'ensemble et j'y attache une attention toute particulière".

Synopsis - L’histoire en 17 tableaux

Un enfant, puni pour sa paresse et son insolence par sa mère, se venge en déchaînant sa colère sur les objets et animaux qui l’entourent : il déchire les livres, martyrise le petit écureuil dans sa cage, décroche le balancier de l’horloge, brise tasse et théière… Les sortilèges commencent lorsque le fauteuil sur lequel il se repose de son accès de colère se dérobe sous lui et se met à chanter sa désapprobation. Tous les objets qui l’entourent s’animent les uns après les autres et utilisent une très large palette musicale pour lui reprocher sa méchanceté. Une princesse sortie d’un livre déchiré, les chiffres du devoir d’arithmétique, l’horloge privée de balancier, etc. se succèdent. D’abord drôles puis de plus en plus menaçants, ils rendent la chambre inquiétante et poussent l’enfant à suivre les chats dans le jardin.

La deuxième partie de la pièce n’offre pas plus de réconfort à l’enfant, puisque les arbres et les animaux, tous ensemble cette fois, s’adressent directement à lui pour lui demander des comptes sur son comportement : les arbres blessés, la libellule chassée, la chauve-souris battue… La colère s’empare des êtres vivants qui veulent se venger et s’attaquent à l’enfant dans un désordre croissant. Un écureuil est blessé dans la confusion, et c’est la gentillesse de l’enfant qui le soigne qui permet le pardon. Les animaux s’unissent alors pour aider l’enfant à retrouver ses esprits et l’accompagnent vers la maison en répétant le mot qu’il a crié au plus fort de son angoisse : « Maman ! »

La distribution

Conception artistique : Denis Charolles

Amelia FEUER : soprano

Léa TROMMENSCHLAGER : mezzo-soprano

Philippe BELLET : ténor, guitare

Christophe GIRARD : accordéon

Denis CHAROLLES : percussions, trombone, voix

Matthieu METZGER : saxophones, alto et sopranino

Julien EIL : flûte traversière, clarinette basse, saxophones baryton et alto

Cécile LARTIGAU : ondes Martenot

Aurélie SARAF : harpe

Romi DEPREZ : créateur lumière

Cédric LE GAL : régie son

Denis CHAROLLES (percutterie, syntoba, graviers, chant)

Denis Charolles débute la batterie à l’âge de 10 ans, puis joue rapidement dans des groupes de rock de Rouen et se dirige vers le jazz. Il se produit alors dans diverses formations de jazz avec Pierre Allart, Bertrand Couloume, Olivier Fodor et Philippe Carment. Il rencontre Christian Garros et forme le Xéné Jazz Quintet avec Alex Rasse, Alexandre Mac Math Compton et Christophe Monniot, puis participe à plusieurs tremplins jazz en France : Jazz sous les Pommiers, Jazz au Fil de l’Oise, Jazz à la Défense, Jazz en Avignon… Il forme le trio la « Campagnie » des Musiques à Ouïr avec Christophe Monniot et Cyril Sergé (1998-2006), puis Rémi Sciuto et Frédéric Gastard. Ils construisent ensemble un univers tissé de musiques jazz et improvisées, dans lequel le savant et le populaire sont réunis à la même table. Le trio est invité dans de grands festivals de jazz : Banlieues Bleues, Jazz à la Villette, Jazz Sous les Pommiers, Nancy Jazz Pulsation, Jazzdor Berlin et Strasbourg, Jazzèbre Perpignan, « Una Striscia di Terra Feconda » à Rome, Helsinki Jazz Festival, tournées en Afrique du Sud, Europe de l’Est… En 2006, Denis Charolles assume la responsabilité artistique des Musiques à Ouïr.

Denis Charolles a rencontré et joué avec Bernard Lubat, André Minvielle, Archie Shepp, Brigitte Fontaine, Yvette Horner, Jeanne Added, Loïc Lantoine, Marc Ducret, Arthur H, Fantazio, Little Bob, Heavy Spirits, Malcolm Braff, Michel Richard, Lucia Recio, Joëlle Léandre, Tania Pividori… Il est coréalisateur avec Alexis Baskind et Elsa Biston du Moulin à Ouïr, procédé d’improvisation numérique interactif mettant en relation gestes et sons au service de la pédagogie et des actions culturelles. Il mène des ateliers autour de l’improvisation et de l’écriture sous contrainte oulipienne.

Il a composé le générique de l’émission La Fabrique de l’histoire sur France Culture, a joué en duo avec Daniel Znyk sur un texte de Gherasim Lucas « Passionnément », a aussi joué en duo avec André Minvielle, Akosh S, Fantazio. Il joue avec David Chevallier dans ses propres projets depuis un quinzaine d’années (créations, enregistrements, partenariats). Il a joué avec Little Bob (dont il a été le batteur de 1991 à 2001 avec deux disques en 1996 et 2000), Christophe Monniot - Sextet de 1990-2005, Laurent Dehors - Tous dehors Trio (1992-2000), Loïc Lantoine (2000-2017) et François Cottinaud Algèbre (CD en 2017).

Philippe BELLET (ténor)

Philippe Bellet est un musicien au carrefour des musiques savantes et populaires. Chanteur ténor de formation lyrique, il se produit dans un répertoire éclectique, allant de la musique médiévale à la musique contemporaine, en passant par l’opéra cirque ou les musiques improvisées : il chante Rameau, Gluck ou Wagner avec les Musiciens du Louvre sous la direction de Marc Minkowski; participe aux créations contemporaines des Cris de Paris de Geoffroy Jourdain; aborde les musiques médiévales et de la Renaissance avec l’ensemble Obsidienne dirigé par Emmanuel Bonnardot; se transforme en siamois, clown blanc, génie des glaces pour les besoins d’un opéra cirque, d’une parade ou autre performance, au sein de la Compagnie Off de Philippe Freslon; se lance dans l’improvisation libre aux côtés de Claudia Solal.Il est également membre du groupe a capella Têtes de Chien qui reprend le patrimoine des chansons de tradition orale avec une approche décalée et contemporaine.

Aurélie SARAF (harpe)

Harpiste, diplômée du CNSM de Lyon et de la Hochschule für Musik de Freiburg, Aurélie Saraf s’est ensuite tournée vers la création contemporaine, l’interprétation sur instruments d’époque, le théâtre musical et les musiques improvisées.

Elle s’est produite sur les plus grandes scènes françaises et internationales avec notamment l’Ensemble Intercontemporain, le Klangforum de Wien, l’Orchestre de Champs Elysées, les Musiciens du Louvre, ou encore le Malher Chamber Orchestra.

Elle a joué en soliste au Mozarteum de Salzburg, à la Philharmonie de Cologne, à Radio France et dans des festivals tels que Darmstatd, Musica à Strasbourg, Why note, Jazz à Vienne… Au théâtre, elle a créé de nombreux spectacles ; Le Savon de F. Ponge et Écrire de M. Duras avec la compagnie Petits Formats, L’Instruction de P. Weiss avec la compagnie de la lune blanche, Kiosk’Aperghis avec Singulière Compagnie, Chants d’Est avec Sonia Wieder-Atherton, une Saison en Enfer d’A. Rimbaud avec l’Oblio di me, Trois Sommes Eberluées de C. Tarkos au festival Musique de Notre Temps. Elle a dernièrement enregistré Fidélité de G. Aperghis chez Ameson, disque qui a reçu le Grand Prix de l’Académie Charles Cros.

Christophe GIRARD (accordéon)

Intègre le CNSM de Paris à l'unanimité du jury en 2004 où il obtient son diplôme de formation supérieur. En 2006, il est lauréat des concours internationaux d' Arrasate en Espagne et de Castelfidardo en Italie. Pendant son parcours classique il ne cesse de s'intéresser au jazz et musiques improvisés et c'est ainsi qu'en 2009 il crée le trio Exultet (avec William Rollin et Stan Delannoy) avec lequel il obtient un 2ème prix de groupe et de formation à Jazz la Défense puis remporte le prix Européen Jazz à Burghausen en 2010 et fait la première partie du All Star Big Band de Roy Hargrove en ouverture de festival. En 2011 il crée le duo « Smoking Mouse » avec Anthony Caillet (Trompette, Bugle, Euphonium).

Il collabore avec diverses formations tel que le trio et quintet de Kiko Ruiz (Guitariste de Renaud Garcia Fons), Les yeux noirs, Barcella (Chanson) Claude Barthélémy (Quartet), Itinérance, Martin (chanson), le quatuor vagabond, Arcal (pièce « les époux »), Orchestre de Bretagne (en soliste), Ensemble Justiniana, Les Musiques à Ouïr.

Julien EIL (flûte traversière, clarinette basse, saxophones baryton et alto)

Flûtiste de formation classique, clarinettiste plutôt autodidacte, il obtient en 2003 une licence de musique option « jazz et musiques improvisées » à l’université Paris 8. Il joue dans divers contextes avec le batteur Denis Charolles, concerts avec Mélosolex et La Campagnie des Musiques à Ouïr (notamment aux festivals Aux Heures d’Eté, Nantes, Soirées La Belle Ouïe au Lavoir Moderne Parisien, et Banlieues Bleues). Lors de multiples rencontres ponctuelles, il joue avec Animus.

Anima Trio (Belgique), André Minvielle, Jeanne Added, Vincent Peirani, Antonin Rayon, Denis Chancerel, David Chevallier.

Par ailleurs, il participe à des groupes de chanson, revisite le répertoire musette et compose des musiques pour la danse contemporaine (plusieurs créations de la compagnie l’En-Dehors) et le théâtre (Le Safran Collectif).

Cécile LARTIGAU (ondes Martenot)

Ondiste rare au parcours singulier, Cécile Lartigau inscrit son travail à la croisée de la musique contemporaine, de l’improvisation expérimentale et du grand répertoire orchestral. Interprète recherchée, elle a été invitée à se produire entre autre aux côtés de formations prestigieuses telles que le Vienna Philharmonic, le Boston Symphony Orchestra, le Berlin Philharmonic, la Filarmonica della Scala, l’Israel Philharmonic Orchestra, l’Orchestre symphonique de Montréal, l’Orchestre de la Suisse Romande — sous la direction de chefs tels que Vasily Petrenko, Esa-Pekka Salonen, Andris Nelsons, Simone Young, Maxime Pascal ou encore Bertrand de Billy. En 2024, Cécile a enregistré la Turangalîla-Symphonied’Olivier Messiaen pour Deutsche Grammophon.

 

Parallèlement à son activité orchestrale, elle est engagée dans des formes transversales mêlant musique, performance, théâtre, vidéo. De 2018 à 2025, elle a pris part, en tant qu’improvisatrice, à la production majeure de Heiner GoebbelsEverything that happened and would happen, œuvre scénique hybride qui a tourné en Europe ainsi qu’à New York, Saint Petersburg et Taipei.

 

Cécile Lartigau développe une intense activité en récital solo et en musique de chambre. Elle se produit en duo avec le pianiste Jérémy Gohier, ainsi qu’en duo ondes et voix, explorant un répertoire à la fois historique et contemporain, souvent nourri de créations. Elle défend avec exigence et inventivité des formes musicales singulières, à la croisée des esthétiques. 

 

 Cécile collabore régulièrement avec des ensembles spécialisés - tel que Le Balcon et le Emex Ensemble - et des compositeurs contemporains. Avec l’Emex Ensemble, elle a enregistré Pièces de chair II de Sylvano Bussotti, pour Deutschlandfunk Genuin, témoignant de son engagement pour la musique d’avant-garde et la réhabilitation d’œuvres rares. Elle a également permis la redécouverte de la première oeuvre pour ondes et orchestre, le Poème Symphonique de D. Lévidis.

Elle défend ainsi une vision vivante et actuelle des ondes Martenot, à la fois enracinée dans l’histoire de la musique du XXe siècle et résolument tournée vers les pratiques artistiques de demain.

Matthieu METZGER ( saxophones, alto et sopranino)

On a pu entendre Matthieu Metzger dans l’Orchestre National de Jazz - Yvinec (2009-2013), auprès de Louis Sclavis en quintet (album Lost on the way chez ECM), dans le Grand ensemble de Marc Ducret, avec François Sarhan et l’ensemble Ictus, le projet Inspiration Baroque avec l’ensemble Amarillis, et Niwashi no yume, quatuor nippo-français issu d’une longue résidence à la Villa Kujoyama de Kyôto avec Rhizottome…

Seize années d'étude des saxophones avec Philippe Di Betta lui donnèrent le goût de la musique au-delà de l'esthétique, et son intérêt pour l'analyse s'est concrétisé à l'Université de Poitiers par l'obtention de la maîtrise Meshuggah, une formation de métal atypique / esthétique et techniques de composition.

Parallèlement au cadre institutionnel il s'implique dans des projets de musiques contemporaines, mandingues, de danse, le quintet inclassable Anthurus d'Archer ou encore Klone et le collectif métal Klonosphère, le groupe NRO revisitant la musique de Frank Zappa…

Attiré tout autant par l'aspect poétique et social de la musique que les moyens techniques de lui donner vie, c'est en autodidacte qu'il s'est formé depuis son plus jeune âge à la programmation informatique, l'acoustique, la lutherie électronique et la conception de machines pour le spectacle, et l'enregistrement - réalisant des dizaines d’albums, notamment les cinq opus d'Anthurus d'Archer, ceux de Rhizottome, ses productions en tant que leader ou bien les six disques Tower de Marc Ducret.

Il travaille actuellement à un meta-instrument à vent électronique open source nommé "Le Bidule".

Amelia FEUER (soprano)

Amelia est une jeune soprano dramatique originaire de New York. Sa voix puissante capte l'attention et éveille l'imaginaire du public dans le monde de l'opéra et de la comédie musicale. Dernièrement, elle a incarné Leonore de l'opéra Fidelio (Beethoven) au théâtre Les Bords de Scène et chanté en tant que soliste soprano pour le Te Deum de Mendelssohn et Lauda Sion de Dvorak à Liège, Bruxelles et Tours ou encore Micaela de l'opéra Carmen (Bizet) àl'Opéra de Béziers. Elle est directrice artistique du festival des Femmes (pas) Oubliées: https://www.festivalfemmespasoubliees.com/ Elle se produit en tant que soliste àl'Opéra de Paris où elle a chantéle rôle de la Coryphée dans l'opéra Alceste de Gluck. Amelia a chanté le rôle de la princesse et le feu dans L'enfant et les Sortilèges à la Philharmonie de Paris avec les Musiques àOuīr et Guite dans l'opérette Dédéàl'Opéra de Rouen. Elle a été Zerlina dans Don Giovanni àl'Opéra de Grenoble et Papagena dans La Flûte Enchantée àAnnecy. Amelia se produit également en concert à l'Opéra de Vichy, au Musée d'Orsay, dans l'Orchestre de Colmar et l'Ensemble Sequintiae. A New York, Amelia a fait des débuts très remarqués avec The American Classical Orchestra dans le rôle de Fatmé de l'opéra Zemir et Azor. Elle a été Aline, rôle principal de l'opérette The Sorcerer de Gilbert and Sullivan lors du festival Bard Summerscape. En comédie musicale, Amelia s'est produit dans les rôles de Fiona dans Brigadoon (Lerner and Loewe) et Liesl dans The Sound of Music (Rodgers and Hammerstein) à New York dans le cadre du festival Bard Summerscape àNew York. Elle était également invitée àchanter àChâtelet au Chatelet Musical Club. Amelia est aussi membre et fondatrice de Trio Lucia, un trio qui met en lumière la musique des femmes compositrices.

Léa TROMMENSCHLAGER (soprano)

Léa Trommenschlager obtient ses diplômes au Conservatoire de Strasbourg auprès d’Henrik Siffert et Françoise Kubler ainsi qu’à la Musikhochschule Hans Eisler de Berlin avec Norma Sharp. Elle reçoit également les conseils de Claudia Solal, J. Chuilon, D. Fischer-Dieskau, C. Schäfer, D. Upshaw et I. Bostridge. En 2011, elle est lauréate de l’Académie du Festival d’Aix-en-Provence.

À l’opéra, on a pu l’entendre dans l’opéra d’Arthur Lavandier De la Terreur des hommes créé à Paris avec Le Balcon, ainsi qu’en Cleopatra de Giulio Cesare de Haëndel à Berlin. En 2012, Léa poursuit la tournée du spectacle « Cher Erik Satie », mis en scène par Jean Bellorini. En 2013, elle chante dans Wie man findet, was man nicht sucht de Leah Muir à la Tischlerei du Deutsche Oper de Berlin – mes M. Höppner – ainsi que le rôle-titre dans Ariane à Naxos de Strauss au Théâtre de l’Athénée à Paris – mes B. Lazar –, avec Le Balcon, direction Maxime Pascal, puis chante Fiordiligi dans Cosi fan Tutte – mes Margita Zalite –, à la Tischlerei du Deutsche Oper Berlin.

En 2013, elle intègre la production « Doppelgänger » – mes D. Marton – créée au Schauspiel Stuttgart. À l’été 2014, Léa est invitée à se produire en récital aux festivals d’Aldeburgh, au Samuel Beckett – Happy Days Festival avec le pianiste Julius Drake et au Festival d’Aix-en-Provence où elle chante notamment les Vier Letzte Lieder de Strauss sous la direction d’Alain Altinoglu.

Dans les répertoires de la mélodie et du Lied, elle a le plaisir de travailler avec les pianistes Alphonse Cemin, Alexander Fleischer, Elizabete Šīrante et Jonathan Ware. Au printemps 2015 paraît son premier enregistrement avec le label B Records du cycle Myrthen de Schumann, avec la complicité du baryton-basse Damien Pass et du pianiste Alphonse Cemin.

Récemment, on a pu entendre la soprano à l’Opéra de Lille, au Théâtre de l’Athénée à Paris, à la Konzerthaus de Berlin, à La Folle Journée de Nantes, au Théâtre du Châtelet, au Théâtre des Salins à Martigues, au Schauspiel de Stuttgart, à La Criée à Marseille ainsi qu’au Tchekhov Festival de Moscou. Après une tournée en Allemagne ce printemps, où elle interprétait la IV e symphonie de Mahler sous la baguette de J. Klumpp, Léa Trommenschlager enregistre l’opéra radiophonique Opus Magnus du compositeur Manuel Durão avec l’ensemble Podium.

Cette saison, après ses débuts à l’Opéra de Lille pour la création de l’opéra Le Premier meurtre d’Arthur Lavandier, on retrouvera la soprano à Salzbourg pour Jakob Lenz, opéra de Wolfgang Rihm, puis dans une création avec le guitariste-compositeur Marc Ducret, mais également en récital avec Alphonse Cemin au Théâtre Impérial de Compiègne. Léa chantera sous la baguette de Vincent Dumestre avec le Poème Harmonique dans l’opéra Il Terremoto de Draghi à Cracovie ainsi que dans l’opéra-chorégraphique Initio de Tatiana Julien et Pedro Garcia-Velasquez au Théâtre national de Chaillot

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