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`Parle envole toi! - ou comment le théâtre m'a
sauv
é la vie'   
Écrit et interprété par Bruno Abraham-Kremer
Mise en scène; Corine Juresco & Bruno Abraham-Kremer    

Dîner table d'hôte festif (après spectacle): 35 

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Réservations jusqu'au 2 décembre:

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Règlement pour spectacle et repas ensemble

Pour tout renseignement, contactez :

Contact@theatrebassepassiere.com 

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Samedi 9 decembre 19h.

(admission jusqu'à 18h50) 

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Durée : 1h30 sans entracte

Admission Générale pour le spectacle   25,00

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Peu de temps avant sa mort, mon père m’a demandé :« Comment ça t’est venu,  cette idée de faire du théâtre ? Personne dans la famille n’a jamais fait une chose  pareille ! » …         

Le spectacle est une réponse à cette question.        

 

Jusqu’ici, j’avais toujours travaillé avec des auteurs à qui je confiais « mes histoires  » : Milarepa, Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran – à Éric-Emmanuel Schmitt ; l’Amérique- à Serge Kribus, sont des pièces qui sont nées de ces collaborations…  Toujours ? Non car mon premier spectacle Le Golem, je l’ai écrit en improvisant  sur le plateau, dans une grande liberté. 

 

30 ans plus tard, un nouveau défi s’impose à moi, me raconter … sans même me cacher derrière un personnage !  

 

Je remonte à la source, à mon enfance, pour explorer ce goût du jeu qui m’a sauvé  la vie. Je retrace l’itinéraire mouvementé du petit garçon esseulé et révolté, qui découvre peu à peu que « Jouer » est un chemin vers la liberté.

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Habité d’une joie malicieuse, je fais le récit tragi-comique de ma rencontre avec le « Théâtre » et de cette lutte acharnée, vitale, qui me permettra de devenir « l’acteur ma vie ».

Enfant lorsque je jouais seul dans ma chambre aux cow-boys et aux indiens, je n’avais pas l’impression de mentir, c’était des superproductions dont je jouais tous les rôles avec le même plaisir, le même engagement total. J’y croyais, je voyais tout, et même quand je mourais plusieurs fois, c’était pour de vrai.

 

 Peter Brook avait une magnifique formule magique pour les acteurs :  « Don’t forget, to play is to play!  »- N’oubliez pas, Jouer, c’est jouer ! J’essaye de ne pas oublier.  

                                                                                                     Bruno Abraham-Kremer

   

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Bruno Abraham Kremer

Au cinéma, il a tourné entre autres, dans des films de Claude Chabrol, Yann MoixDanièle Thompson, Anne Fontaine, Bertrand Blier,  Zabou Breitman, Pierre Granier-Deferre, Serge Frydman, Georges Wilson  …  

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Et pour la télévision avec Ziad Doueiri, Alain Tasma, Laurent Heyneman, Claude Goretta , Marc Angelo, Sébastien Graal, Christian de Chalonges, Alain Vermuz, Marcel Camus, Claude Faraldo…

  

Au théâtre, il a notamment travaillé sous la direction de Didier Bezace, Joël Jouanneau, Jean-Luc Revol, Christian Schiaretti, Didier Long, Christophe Lidon, Bernard Bloch, Gilles Bouillon,  Robert Cantarella,  Philippe Ogouz.                 

 

On a pu le découvrir grâce à sa «Trilogie de l’Invisible» :

«Le Golem» (dont il est l’auteur ), ainsi que «Milarepa» et «Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran» ( écrit pour lui par Eric-Emmanuel Schmitt ), qu’il a joué avec succès durant 2 saisons à Paris d’abord au Studio des  Champs-Élysées puis au Théâtre Marigny ainsi que dans toute l’Europe et dans 12 pays d’Afrique.  

             

Il a créé «l’Amérique» au Studio des Champs-Elysées, écrit pour lui par Serge Kribus pour lequel il a reçu le Molière 2006.  (Grand prix spécial théâtre privé ) 

             

En 2007, il a joué dans Rutabaga swing, nommé au Molière comme meilleur spectacle du théâtre public.

         

En 2009, ll a créé «La Vie sinon rien», premier volet de son nouveau triptyque : « La Trilogie d’un homme  ordinaire » aux Gémeaux /Sceaux /Scène nationale, repris à la Comédie des Champs-Elysées et au Lucernaire en 2010.

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En 2010, il a interprété le rôle de Freud dans «Parole et guérison» de Christopher Hampton dans une mise en  scène de Didier Long au Théâtre Montparnasse, au coté de Barbara Schultz et de Samuel Le Bihan.  

  

En 2012, il a créé «La vie est une géniale improvisation» une adaptation de la correspondance de Vladimir  Jankélévitch créée au Festival de Grignan qui a été à l’affiche du Théâtre des Mathurins jusqu’en avril 2014. 

  

Il est l’interprète, de «La promesse de l’aube» de Romain Gary, qu’il a adapté et mis en scène avec Corine  Juresco. Le spectacle créé au Théâtre de la Commune /CDN d’Aubervilliers en 2011 à ensuite été joué deux saisons à Paris au Petit St Martin en 2012 et au Théâtre des Mathurins en 2013. Après deux tournées en France il a été  représenté en Lituanie, en Russie et au Liban.  

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En 2014, il interprète Anton Tchekhov dans «J’ai terriblement envie de vivre» qu’il a écrit et mis en scène avec Corine Juresco au Petit St Martin. En 2016 le spectacle se joue un mois à Genève au Théâtre des Amis, puis en tournée.

  

En 2015, il a joué au coté de Michel Aumont dans «Le Roi Lear» de W. Shakespeare, mis en scène par Jean-Luc Revol, au Théâtre de la Madeleine et en tournée. Il a joué dans le film de Alain Tasma  «Huit jours en hiver», sur Arte.

  

En 2017, il a repris au Lucernaire, «La vie est une géniale improvisation», une adaptation de la correspondance de Vladimir Jankélévitch créée au Festival de Grignan. 

   

En 2018 il a joué « L’Angoisse du Roi Salomon » de Romain Gary/ Emile Ajar qu’il a adapté et mis en scène avec Corine Juresco au Théâtre du Petit Saint-Martin et repris au Lucernaire.

  

La saison dernière, il a créé   « Nicolas de Staël, la fureur de peindre »  d’après la correspondance de Nicolas de Staël et René Char, qu’il a adapté et mis en scène avec Corine Juresco au Lucernaire puis en tournée en 2021-2022 et il a  joué dans le film de Florence Vignon « l’Homme debout », au côté de Jacques Gamblin.

Commentaires de la presse

 

TELERAMA         

Bruno  Abraham-Kremer retrace avec verve un parcours plein de détresse, de passion.  Le théâtre, découvert par hasard à Nice, lui  réapprend à vivre, à aimer, à être enfin libre. Sur ce chemin initiatique, le  comédien nous entraîne avec rien. Juste sa  générosité partageuse, et ce banc autour duquel il paraît danser. Tel un esprit, un  fantôme, un mage.  Vœu de son cher Peter Brook  accompli: du visible, Bruno Abraham-Kremer a fait surgir l’invisible.  Soit l’insoupçonnable folie de chacun de nos  destins.      

                                    

PARIS MATCH    

Bruno Abraham-Kremer se raconte. Et c’est passionnant. Pas du tout égotiste comme  on pourrait le craindre. Qui s’intéresse à sa vie ? Eh bien tout le monde dans cette  salle du Lucernaire. Car son parcours nous  parle à tous...Le spectacle, sans décor mais avec de la musique et des sons - excellents. On parcourt Nice, Pigalle, la Cartoucherie de Vincennes...  avec des scènes et des émotions très vivaces  …Grâce au talent de cet acteur formidable.        

                          

L’HUMANITÉ  

Avec Parle, envole-toi, Bruno Abraham-Kremer a écrit une œuvre sensible, attachante et drôle qui mêle autobiographie et magie du théâtre... Nul besoin d’accessoires ici. Les mots, et ce qu’ils dévoilent, c’est-à dire la passion et la vie, suffisent. Sensible et personnel, autobiographique et drôle, le récit est touchant. Et passionnant.

                                    

LE CANARD ENCHAINÉ

Bruno Abraham-Kremer conte comme il respire. Dans ce spectacle qu’il met en scène avec Corine Juresco, il se livre en toute sincérité. Et c’est d’une justesse remarquable... Il y a du Romain Gary en lui, qui coule dans ses veines. Son histoire est un voyage initiatique... On rit, on sourit, on est ému, et on n’a qu’une envie : y retourner

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LE FIGARO

Il ne faut pas manquer les comédiens d'envergure dans des spectacles magistraux : Bruno Abraham-Kremer avec la complicité de Corine Juresco se distingue dans une œuvre de son cru : Parle, envole-toi ! ou comment le théâtre m'a sauvé la vie.

​Corine Juresco

Comédienne et metteuse en scène, elle a beaucoup travaillé avec Bruno Abraham-Kremer, mais aussi en tant que comédienne avec les metteurs en scène Laura Koffler (Théâtre de la Tempête), Patrick Haggiag (Odéon et Théâtre 13), Didier  Bezace (Théâtre de l'Aquarium), Marjorie Nakache (Studio Théâtre de Stains), François Roy (Maison de l'Acteur de Montrouge), Clémentine Amouroux (Quai de la Gare), Claude Confortès (tournée en Belgique), Christine Farré (Centre Culturel de la Clef), Jean-Marie Lehec (Théâtre de la Plaine)....

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Collaboration Artistique:  Richard Copans

Scénographie, Lumière : Arno Veyrat

Réalisation sonore: Jean-Baptiste Favory
Costumes: Charlotte Villermet

Production:  Théâtre de l’Invisible   

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Dîner table d'hôte festif (après le spectacle)

Repas convivial de 3 plats (thème festif de saison). 

Apporter votre propre vin.  Places limitées - toute réservations avant le 2 décembre. 

Contact@theatrebassepassiere.com 

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Si vous désirez régler pour le spectacle et le repas en même temps:  contact@theatrebassepassiere.com 

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Diner table d'hote festif:  35 ,00

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Réservations jusqu'au 2 décembre 

 

Règlement pour le spectacle et le repas ensemble- contact@theatrebassepassiere.com

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